" Donner goût à la vie grâce à l'originalité "

PITITE REFLEXION PSYKE SUR L'AVENIR DU THEATRE TA MERE

Auteur : Chavrog


La question centrale du texte est : a quoi devrait ressembler du théàtre Psykékosmiste.
Nous nous baseront sur un parallèle avec l'histoire d'un point de vue Marxiste, pour montrer les travers du théâtre moderne et classique, pour fonder ce qui est à mon sens le meilleur théâtre imaginable.

Rapellons cette idée essentielle du marxisme :
_L'histoire évolue vers le bien, de mieux en meilleur à travers les siècles. C'est la révolution perpetuelle.
_Mais avant l'atteinte du bonheur nous devons passer par la révolution, puis par la dictature du prolétariat.

-Appliquons cela au théâtre.
_Durant des siècles l'art = bourgeois.
Mais depuis le 20ème siècle, l'art se démocratise. ( musique savant comptemporaine,, surréalisme, absurde...mais surtout le développement de la photographie, des caméras amateurs, et la possibilité de lire et d'être lu offerte par internet. )
_Le théàtre de Boisleau est donc mort. Plus d'unité, de bienséance, plus de contraintes.
_On a fait une chasse aux sorcières.
_Classique veut maintenant dire " rétrograde ", et moderne "anti-classique'
__Au théàtre, maintenant, on se sent obligés de crier, se mettre nu, danser, saigner sur scène.
_Donc : sortir du classicisme par la révolution : c'est bien.
__Mais la course au moderne s'est doté de tellement de gimmick et "d'innovations" récurentes.....LE MODERNISME EST DEVENU UN CLASSICISME.

_Les artistes ayany assez de recul pour comprendre ça se rue dans une escalade du trash, pour être toujours plus " novateurs ". Mais regarder un spectacle de sarah Kane, n'est rien d'autres qu'un torture porn au goût intellectuel.

_Je critiqaues, je critiques : que proposes-je ?
_Nous devons faire comme la nouvelle vague Italienne des années 50/60.
_Le néo réalisme d'après-guerre avait fait un sort au cinéma de divertissement Mussolinien ( comme le théàtre moderne a déconstruit le théàtre de papy ). Mais les réalisateurs de ce mouvement ( Fellini, Pasolini ) ont pris cette avancée, et en ont fait des films plus calmes, el plus proche du peuple ( pour les incrédules, la dolce vita a fait 15M d'entrées en Italie, malgrè les sévères déconseils de la bourgeoisie ( donc de beaucoup de journeaux ) et de l'église ( très très très importantes à l'époque. )
_Et c'est que nous devons trouver. Un équilibre entre modernisme et savoir-faire classique, tout en conservant l'énergie du premier.
_C'est, je pense le rôle de la nouvelle génération du théàtre européens. Alors, arrétons de copier les allemands et les anglais tant en avance sur nous actuellement. Et innovons. Surprenons le monde !
Avec Avignon, et des acteurs aussi talentueux que ceux de la nouvelle génération de la comédie française !
_Le théàtre Psykékosmiste doit s'inscrire dans ce mouvement, celui  de la reconquête populaire, comme le cinéma Italien de années 60.

Résumons ! A trop vouloir fuir le classicisme, le modernisme est victime des mêmes syndrômes que lui et s'est enfermée dans une sorte de dictature du modernisme continu. Oserais-je parler de Stalinisme culturel ? Bref. LA NOUVELLE GÉNÉRATION EUROPÉENNE DOIT ÊTRE CELLE DU MODERNISME RAISONNÉE.
Ma gueule.


Z'en pensez quoi ?

6 commentaires:

  1. Why not, Bro'?

    Mais je suis pas sure que ça se résume qu'au théâtre...

    Et si t'a encore écris n'importe quoi pour faire genre, que j'aille me faire foutre...

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    1. non, non là j'ai réfléchis !
      et..ouais, je suis d'accord, mais je ne parles que de ce que je maîtrise à peu près ;)

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    2. Compréhensible, en somme, mais je suis d'acc' avec toi, à trop vouloir innover, on devient chiant et on veut rien dire...

      Et quand on a rien à dire....

      Ben autant fermer sa gueule....///VLAM

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  2. Je suis assez d'accord avec toi, ça me semble important de faire ce constat ET de chercher comment garder le meilleur et éviter le pire tout en apportant sa patte créative… Lord T.

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    1. au final et dans le fond, je dis des évidences...malheuresement, je penses qu'elles doivent encore être dites.

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